Arrête ton char Ben-Hur … terminus pour le latin au lycée Désiré Nisard

Une suggestion pour vos vacances : regarder un célèbre péplum

Ben-Hur est un film de genre péplum réalisé par William Wyler en 1959.

Il raconte l’histoire de Judah Ben-Hur, prince de Judée et de ses aventures.

Après avoir retrouvé son ami d’enfance Messala, un romain qui vient prendre le pouvoir d’une garnison romaine à Jérusalem, Judah se rend compte que Rome a complètement changé son cher ami et que celui-ci est devenu violent et avide de pouvoir.

Messala demande même à Judah de choisir entre leur amitié ou sa loyauté envers sa patrie.  Judah, choisissant de rester digne de sa patrie, va s’attirer les foudres de Messala.

Peu de temps après, le nouveau gouverneur envoyé par Rome à Jérusalem parade dans les rues de la ville. Alors que Judah le regarde passer du haut de sa maison avec sa mère et sa sœur, cette dernière fait tomber une tuile à côté du gouverneur, la famille est aussitôt accusée de tentative d’assassinat. Judah va prendre la responsabilité de la maladresse de sa sœur et dire aux Romains qu’il s’agit d’un accident. Mais Messala qui doit décider de leur sort, va les faire arrêter tous les trois, pour se venger du choix qu’a fait Judah.

Judah est envoyé aux galères romaines tandis que sa mère et sa sœur sont toutes deux jetées dans un cachot. Trois ans plus tard il retournera à Jérusalem et essayera de les retrouver.

Critique du film :

J’ai personnellement apprécié ce film, les décors et les costumes représentant vraiment bien l’ambiance de l’époque. Je trouve que dans l’ensemble, l’histoire est vraiment intéressante. Judah ayant une quête à accomplir tout au long du film, nous le suivons dans sa progression. Le seul point négatif à citer : la forte présence de situations « miraculeuses ». En effet, le simple fait que Judah soit encore en vie relève du miracle, car passer trois ans à ramer au sein d’une galère romaine en étant malmené est complètement inimaginable dans la réalité.

Cela n’empêche pas que je recommande vivement ce film, n’hésitez pas à aller le visionner.

A. P.

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